Depuis son ouverture en 1865, Printemps Haussmann s’est imposé comme l’un des grands théâtres de Noël à Paris, où les vitrines deviennent chaque année un spectacle à part entière. En 2025, le grand magasin choisit un thème à la fois festif et stratégique : “Un Noël à New York”, clin d’œil direct à l’ouverture, en mars dernier, de sa première adresse américaine à One Wall Street, au cœur de Manhattan. Entre la rive droite et Downtown, le magasin orchestre un voyage transatlantique joyeux, rythmé par l’imaginaire de la ville qui ne dort jamais.
Cette année, ce ne sont pas des lutins ni des fées qui mènent la danse, mais une meute de chiens espiègles. D’abord esquissés en noir et blanc dans l’esprit des cartoons new‑yorkais, puis patiemment réalisés à la main en tissu et carton, ils donnent vie à 125 personnages animés. Un an de travail, des milliers d’heures de couture et d’assemblage se condensent dans ces silhouettes facétieuses, qui entraînent les passants d’une scène à l’autre. Chaque chien porte un signe distinctif venu de New York : un tutu de patineuse, un mini hot‑dog, une écharpe XXL, un tote bag de shopping… Autant de détails qui glissent de l’humour dans la tradition, et traduisent l’énergie de Manhattan dans le langage familier des vitrines parisiennes.
À l’intérieur, le thème new‑yorkais se prolonge et se déploie en expériences. Sur le rooftop, la Patinoire du 7e Ciel, imaginée avec Ferrero Rocher, installe une parenthèse enchantée entre Paris et Manhattan. La vue s’ouvre sur la tour Eiffel, tandis que le décor s’inspire du Rockefeller Center : un dialogue de skylines où la capitale française et la métropole américaine se répondent en reflets dorés. Au restaurant Bleu Coupole, le chef Xavier Pistol met en scène un duel gourmand entre les deux villes à travers deux burgers de Noël, opposant l’imaginaire du diner new‑yorkais à celui de la brasserie parisienne.
Côté sucré, le chef pâtissier Bryan Esposito convoque l’iconographie de la Big Apple avec une collection de petits choux décorés de symboles new‑yorkais, comme autant de mini‑souvenirs comestibles. Sa bûche Candy Cake, inspirée du célèbre candy cane, revisite le dessert de fête en superposant un cheesecake au citron vert, un biscuit épicé et une marmelade de cranberry. Là encore, Printemps joue la carte du pont culturel : des saveurs américaines retravaillées avec la précision pâtissière française, pour une bûche qui ressemble autant à un objet pop qu’à un dessert de haute volée.
En mêlant humour, artisanat, références culturelles et palette festive, Printemps Haussmann propose cette année un Noël résolument accessible, lumineux, pensé autant pour les familles parisiennes que pour les visiteurs internationaux. “Un Noël à New York” raconte, en vitrines animées, en patinoire et en desserts hybrides, la manière dont un grand magasin historique peut continuer d’être un acteur culturel, tissant un lien vivant entre Paris et Manhattan tout en préservant la magie très particulière des fêtes sur le boulevard Haussmann .. très parisien !
Collaboration presse officielle
Blender Bookmagazine 